"C'est le printemps, les fleurs s'ouvrent et l'épine pousse"…
C'est ça les gars, je suis malheureux pck je suis mazouteux.
Plus sérieusement, je peux comprendre que certains soient "imperméables" à ce sujet, chacun sa philosophie de vie, je leur souhaite juste qu'ils n'aient pas un membre de famille/ami/femme qui soit pris d'un mal-être, pck ça risque fort de faire une scission entre eux … (j'ai vu un mec (enfin ce qu'il en restait) se mettre sur les rails après que sa mère soit décédé, malgré femme, enfants, et ami qu'il a été voir peu avant…il a pas dû se sentir compris ou épaulé…)
Le sujet que je voulais partager avec vous qui êtes des 4 coins de la France, c'est la corrélation (qu'est ce que je m'exprime bien, PUTAIN

) montée/descente de sève & moral, ainsi que comment bénéficier d'une aide psychologique à moindre coût.
Faut à tout prix se débarrasser des clichés qu'on a des patients psychiatriques qui riment avec "fou" "dément" "perdu la raison".
Déjà qui est fou, qui ne l'est pas. Des millionnaires prêts à faire tuer des gens pour devenir milliardaires, pour moi c'est des fous ; pourtant y en a plein, libres comme l'air. Quelqu'un en détresse qui a subit des traumatismes à cause de notre société de merde, pour moi c'est juste quelqu'un qu'a pas eu de chance qu'a besoin d'être aidé.
Par contre l'institution psychiatrique est sans doute folle…combien de témoignages très sombres sur certains établissements et pratiques ; pas d'avocat dans ce milieu ! (l'Etat veut discréditer quelqu'un, il l'envoie en HP…avec le tampon "psychiatrie" sur le front plus personne ne l'écoute, qu'est ce qu'on est cons…)
Je connais des gens qui devraient être suivis mais n'ont pas d'étiquette sur le front ('sont passés entre les mailles

).
Et je connais quelqu'un qui a demandé un séjour en établissement psychiatrique de lui même car il sentait qu'il en avait besoin (divorce avec enfants, idées de meurtre), auj il va mieux.
La vie c'est pas un film, mais y a parfois du sale comme on ne peut l'imaginer gamin. (entre entendre et voir une photo, il y a une marche ; et entre voir une photo et de ses yeux, il y en a une autre)
Comme je dis: on fantasme sur le sale jusqu'à ce qu'on l'ai sous les yeux ; et plus tard on regrette. Pas facile après de retourner dans la société genre tout va bien…
La folie peut venir progressivement aussi, j'ai un "ex-ami" qu'a changé petit à petit…tellement doucement que je l'ai pas vu venir ; c'est chaud car on passe de cotoyer une personne correcte (qu'a quelques écarts de morale pas bien graves) à une personne peu communicante, peu franche, qui quand elle parle sincèrement tient des propos "contradictoires" "choquants" "sans morale" "dénués d'empathie" … (c'est triste et en même temps du tracas pour les proches)
Bref, si vous avez des éléments de réponse aux 2 questions
